Microsoft-Yahoo : la vraie raison

Que de mauvais pr0nostics !

dimanche 3 février 2008, 20h14

Attention, attention. Aujourd’hui, Le Grain de Celeri vous sort THE scoop mortel de la mort qui tue.

Vous tous qui me lisez (et les quelques rares brebis égarées qui ne me lisent pas non plus, d’ailleurs), vous êtes sûrement déjà au courant de la proposition de rachat de Yahoo! par Microsoft d’il y a quelques jours. Décrite comme un véritable séisme du cyber-business 2.0 allant faire déferler un tsunami sur Google, la seule entreprise ayant osé (et réussi à) mettre une fessée à Microsoft, on en lit partout des analyses tantôt technologiques, tantôt financières, voire même parfois politiques… mais toutes parfaitement ineptes.

Google-Microsoft-Yahoo!

Microsoft vise-t-elle à renforcer son activité publicitaire en ligne ? Veut-elle faire sien le moteur de recherche du seul concurrent à sa portée ? Désire-t-elle étoffer ses portails ? Ou alors est-ce pour éviter ce procès que Yahoo! songerait à intenter à l’ogre de Redmont depuis que ces derniers ont intégré un champ de recherche “live search” directement à Internet Explorer ?

Oubliez toutes ces fadaises qui ne sont là que pour faire gonfler le cours de l’action de Microsoft et justifier les salaires honteusement élevés des analystes. La vraie raison se situe ailleurs. Vous devriez le savoir, sur l’internet, ceux qui font la loi, ce sont les geeks. Et les geeks, ils ont des besoins qui leurs sont propres. Aussi, si vous voulez qu’ils utilisent votre page de recherche et cliquent sur vos liens sponsorisés, il faut répondre à ce besoin. Et force est de constater que sur ce secteur, Microsoft est jusqu’ici plutôt à la traîne :

Google

Yahoo!

Microsoft

Au fait, pour les incultes qui ne sauraient pas ce qu’est le pr0n… eh bien cliquez sur une des images ci-dessus.

Un commentaire pour “Microsoft-Yahoo : la vraie raison”

  1. Tût-tûûût dit :

    3h b3h, c’357 m4l1n.
    Ceci dit, y’a pas tout simplement moins de pages indexées par le moteur de microsoft ?
    37 π pr007, d’abord.