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Jouons zinbrin

mardi 13 octobre 2009

Aujourd’hui, je vous propose de savourer deux petites répliques, partageant certaines caractéristiques.

Tout ce qui donne en pâture une personne, sans fondement, de façon excessive, […] ce n’est jamais bien.

Quand ? Aujourd’hui.
Qui ? Nicolas Sarkozy.
Quoi ? À propos de la polémique née de l’ “élection” de Jean Sarkozy, son fiston de 23 ans et en deuxième année de droit (faites le calcul), à la tête de l’EPAD.

Désormais, ce qui compte en France pour réussir ce n’est plus d’être ‘bien né’, c’est d’avoir travaillé dur et d’avoir fait la preuve, par ses études de la
valeur. […] Quel meilleur critère que celui du savoir et de la compétence pour désigner ceux qui doivent exercer des responsabilités ? […] Je veux que les nominations soient irréprochables.”

Quand ? Aujourd’hui.
Qui ? Nicolas Sarkozy.
Quoi ? À propos de la réforme du lycée, objet du discours.

Matelots, surveillez vos voiles. Aujourd’hui, les vents sont oscillants… et les girouettes décomplexées.

PSP Go home !

dimanche 4 octobre 2009

Depuis une bonne décennie, maintenant, les gamers sont habitués à voir les nouvelles consoles de jeu vidéo lancées en grande pompe, appuyées par de lourdes campagnes de communication, moult événements organisé à minuit le jour fatidique, avec stands de démonstration, hôtesses court vêtues, petits fours, etc. Et si ces opérations ont tant d’impact, c’est qu’elles sont d’habitude répercutés dans les grandes enseignes plus ou moins spécialisées, que ce soit Micromania, la Fnac ou même Auchan.

Et pourtant, il est une console qui a débuté son cycle de vie commerciale cette semaine mais n’a pas eu droit à ces honneurs : la PSP Go. La plupart d’entre vous en ont sûrement déjà entendu parler, Sony ayant entretenu le buzz depuis de nombreux mois. Il s’agit de la petite soeur de la PSP, qui va maintenant sur ses cinq ans et n’a cependant toujours pas perdu son leadership en terme de puissance brute pour une console portable, ce qui est une performance dans le monde d’aujourd’hui. Il est donc logique que celui-ci n’évolue pas, la petite nouvelle étant à première vue principalement un relooking de la même bestiole. Mais qu’est-ce qui explique son lancement quasi-confidentiel, alors ?

C’est très simple : la PSP est une console faite PAR Sony et POUR Sony. Tous les autres acteurs du marché du jeu vidéo, à l’exception peut-être des éditeurs de jeux, ont été évincés de la stratégie de l’ogre japonais. La principale caractéristique de la PSP Go, en effet, est une double absence : celle du lecteur de disques UMD ainsi que du lecteur de Memory Stick. À présent, les jeux ne se distribueront plus qu’en ligne, via l’internet, et se stockeront sur une mémoire flash intégrée à la machine.

L’idée de Sony est claire comme de l’eau de roche : en mettant les boutiques hors-jeu au niveau software, la firme reprend la main sur l’ensemble de la distribution, ceci lui permettant de fixer les prix, de décider quels jeux mettre en avant… et surtout de tuer à la fois la concurrence et le marché de l’occasion. Et c’est là que le consommateur se voit lui aussi impacté par cette stratégie : il ne lui est possible ni de revendre des jeux achetés (sauf en vendant la console avec), ni de réutiliser ceux achetés avant la console. Sony est toujours resté évasif quant aux modalités d’échange des jeux sur UMD au moment d’acheter une PSP Go, on sait aujourd’hui pourquoi.

Le reste des caractéristiques de la machine sont à l’avenant : les câbles et connecteurs étant devenus propriétaires, aucun de vos anciens accessoires ne seront utilisables (à l’exception des écouteurs). Ne parlons pas de l’écran plus petit et du WiFi qui reste en 802.11b, donc limité à 11Mbps, des téléchargements lents, pendant lesquels on ne peut rien faire d’autre, et qui sont à recommencer à la moindre perte de connexion au net…

PSP Go :p

Bref, vous l’aurez compris, la PSP Go est une console qui ne bénéficiera qu’à une seule entité, Sony et personne d’autre. Pas étonnant qu’aucun grand magasin ne la mette en avant et qu’on n’ait pas vu de file d’attende devant les points de vente. Son concepteur a visiblement pris les autres acteurs du marché pour des imbéciles, et il est à souhaiter que la sanction sera proportionnée à l’offense. Quand on en arrive à vouloir faire payer plus cher qu’avant pour une console qui constitue une régression à tous les points de vue, c’est qu’on perd totalement le sens des réalités.

L’ironie, dans l’histoire, c’est que j’attendais plutôt ce genre de pratique de la part de Nintendo. Mais même le requin notoire, dont la position dominante aurait pu rendre la chose logique (à défaut de normale), n’a pas osé… Chapeau.

Un terroriste qui en avait dans le slip

lundi 28 septembre 2009

– Bonjour monsieur la victime !
– Euh… bonjour monsieur…?
– Prépare-toi à mourir ! J’ai une bombe cachée sur moi, mais tu ne devineras jamais où !
– Hm… DTC ?
– Gagné ! …mais tu vas mourir quand même !

(onomatopée d’explosion, projections sanguinolentes, etc.)

Bilan : un magnifique EPIC FAIL pour le terroriste qui devait avoir des poches vraiment trop petites.

Respect.

Réalité augmentée

mercredi 26 août 2009

La réalité augmentée, vous connaissez ? Il s’agit d’un procédé technique visant à superposer des informations numérisées à la perception humaine ordinaire. Un des premiers domaines où il fut utilisé est l’aviation, avec les fameux “affichage tête haute” (HUD) qu’on trouve sur les modèles assez récents d’avions de chasse, comme par exemple le F-18 :

F-18 HUD

L’intérêt de la technique est de permettre aux informations ajoutées d’être très rapidement assimilées, car on n’a plus à considérer d’un côté la réalité, et de l’autre les données. Le cerveau apprend très vite à fusionner les deux sources d’informations, comme si en fin de compte il ne s’agissait que d’une seule. Comme si on lui augmentait ses capacités de perception.

La réalité augmentée serait-elle le prochain eldorado de l’électronique grand public ? Déjà certaines voitures arrivent à incruster certaines informations dans le pare-brise, de manière à aider le conducteur aux manoeuvres. C’est également une technique de ce type qui est utilisée à la télévision pour insérer des panneaux publicitaires dans les vidéos tournées sur des terrains de sport, de manière à ce qu’ils soient toujours dans le bon sens quel que soit l’angle de la caméra.

Il existe une application pour iPhone qui, dans sa toute nouvelle version 3.0, utilise la caméra de l’appareil pour faire de la réalité augmentée. Baladez-vous dans Paris, et il vous affichera à l’écran toute sortes d’informations très utiles dans la vie de tous les jours. Une image valant mieux qu’un long discours, voici ce que ça donne :

Metro-Paris

Quelle belle valeur ajoutée ! C’est fou ce que de telles informations donnent comme charme à notre capitale ! ;)

Bon, d’accord, je suis un peu cynique : le but principal de l’application est quand même de vous permettre de trouver les stations de métro et de RER, et a l’air de parfaitement remplir cette mission.

L’iPhone semble donner des ailes à toute une nouvelle génération de programmeurs qui fourmillent d’idées intéressantes. Et je prédis un ras-de-marée pour le jour où une application pourra faire ça en temps réel :

Réalité très augmentée

Patrick Hernandez, ou le salaire de la fumisterie

dimanche 23 août 2009

Cet après-midi, alors que je faisais un peu de ménage dans mon chez-moi, j’ai commis l’erreur de laisser la télévision allumée. À un moment, l’émission qui passait s’est mise à parler d’anciennes star du disco, et notamment d’un certain Patrick Hernandez.

Le nom ne me disait que très vaguement quelque chose, jusqu’à ce que j’apprenne qu’il s’agissait du compositeur et interprète de “Born To Be Alive”, cette espèce de sous-produit de ce que la culture anglo-saxonne abâtardie a pu engendrer en ses heures les plus sombres, mais qui a eu un succès gigantesque. De gustibus et coloribus non disputandum

Si je vous en parle ici, c’est qu’à un moment, le documentaire révèle que grâce à ce simple hit, l’homme perçoit encore aujourd’hui plus de mille euros par jour. Depuis trente ans. Et pour un morceau auquel il n’a vraisemblablement pas consacré énormément d’énergie créative… L’esthète et le mélomane vous le confirmeront sans hésiter, et de toute façon, Hernandez révèle lui-même, en substance, que ce ne sont que quelques accords agrémentés d’un rythme de disco et de paroles en anglais pour faire plus cool.

Et le Patrick de se pavaner, encore et encore, malgré le fait que tous ses autres morceaux ont été des échecs et qu’il n’est plus connu aujourd’hui que grâce à la nostalgie, difficilement explicable, d’une génération qui ne se lasse pas de venir le voir chanter invariablement sur scène son seul et unique succès. Et lorsqu’il se vante d’avoir composé le troisième plus gros succès de chanson française à l’étranger, la coupe est pleine. Si la chanson française pouvait porter plainte pour insulte, elle gagnerait à tous les coups.

Depuis le temps que je cherchais un exemple particulièrement révélateur des méfaits des droits d’auteur tels qu’ils existent aujourd’hui, je crois l’avoir trouvé. Car s’il est évidemment juste qu’un succès soit rétribué, que peut-on penser quand on entend un compositeur déclarer, texto : “Ma situation est très confortable, parce que grâce à cet unique titre, je n’ai plus eu besoin de travailler de toute ma vie” ?

Microsoft arrête de vendre Office ?

vendredi 21 août 2009

La semaine dernière, on apprenait qu’un juge du Texas avait infligé une amende de 290 millions de dolalrs à Microsoft ainsi qu’une mise en demeure de deux mois pour mettre son logiciel en conformité, faute de quoi il serait interdit à la vente sur le territoire américain. La raison était un de ces sempiternels brevets logiciels, celui-ici concernant le format XML et détenu par la société canadienne i4i.

Microsoft, fort logiquement, avait immédiatement fait appel. Un appel suspensif qui lui permet de continuer à vendre son logiciel pendant que la bataille judiciaire suit son cours pendant de longs mois.

Mais aujourd’hui, coup de tonnerre, le géant du logiciel annonce qu’il va temporairement arrêter de vendre sa suite bureautique si le jugement à l’encontre de Word n’est pas annulé. Dixit son service juridique :

Microsoft et ses distributeurs sont sous la menace imminente d’un cataclysme de leurs ventes. Si l’injonction de la cour de justice n’est pas levé, un dommage irréparable sera causé à Microsoft en sortant un de ses principaux produits du marché. Et ceci ne concerne pas que Word, mais toute la suite Office et les logiciels qu’elle inclut.

Difficile de voir dans cette décision autre chose qu’une tentative de chantage. Implicitement, le message est le suivant : “si la justice ne revient pas tout de suite sur sa décision, on va lui montrer à quel point on va manquer aux gens”. Prendre des clients en otage parce qu’on n’est pas d’accord avec une décision de justice, est-ce une attitude responsable ?

C’est un jeu dangereux car à double tranchant. D’un côté, il est clair qu’un tel embargo perturberait les ventes de machines et donc le business des distributeurs, rendant le jugement impopulaire. Mais d’un autre côté, il y a le risque de mettre en évidence le fait que Microsoft est en situation de quasi-monopole, ce qui rend ce genre de comportement d’autant plus grave aux yeux des autorités. En général, la FTC n’aime pas trop qu’une compagnie se montre si arrogante. Et tout ça sans oublier les concurrents émergeants (OpenOffice et Google, notamment) qui vont sûrement profiter de l’aubaine…

Microsoft n’ignore pas, vu la quantité de brevets qu’elle dépose – et bien souvent obtient -, qu’elle est face à une machine implacable : les brevets logiciels sont rarement invalidés, et c’est toujours au prix d’une bataille longue et coûteuse. Techniquement, retirer les éléments incriminés du logiciel pour le rendre à nouveau légal ne serait pas difficile, mais Microsoft aurait choisi le triple bras de fer avec le plaignant, la justice et les utilisateurs en même temps ? Difficile d’y croire…

Il semble que Microsoft soit simplement en train de tâter le terrain, afin de voir la réaction du marché face à cette menace, laquelle ne sera sans doute jamais mise à exécution. Et m’est avis que ça aidera la compagnie à se rendre compte que son monopole n’est plus ce qu’il était.

Mac OS X et la tolérance de panne

mardi 21 juillet 2009

J’ai fait une découverte intéressante, le week-end dernier : Mac OS X gère nativement la tolérance de panne réseau, et en multi-support.

Mékéskidi ? Je vous explique.

Vous n’êtes pas sans savoir qu’en informatique, n’importe quel composant, matériel ou logiciel, peut défaillir, et donc que n’importe quelle fonction peut s’arrêter de fonctionner. Dans les réseaux informatiques, on vit avec la menace permanente de la coupure au-dessus de sa tête, tant il est vrai que maintenir une connexion avec un équipement distant est un énorme empilage de technologies, matérielles et logicielles. Interopérables, certes, mais pas infaillibles.

Un des mécanismes de protection les plus classiques contre les coupures est appelé “fault tolerance”, tolérance de panne. Le principe est assez simple : au lieu d’avoir une connexion réseau, vous en avez deux, une qui fonctionne et l’autre qui est en sommeil. Si la première s’arrête de fonctionner, la seconde le détecte et reprend sa fonction, de façon la plus transparente possible, l’idéal étant de ne perturber aucune des fonctions réseau votre équipement. Enfin, lorsque la connexion primaire est rétablie, la secondair lui rend la main, et tout reprend comme avant. On appelle ça un système actif-passif, car il y a toujours un accès qui fonctionne, et l’autre qui est en attente de prendre le relais.

Il existe également des systèmes dits à répartition de charge (les deux accès sont actifs en même temps et se partagent le travail), mais les points essentiels dans la tolérance de panne sont :
– une liaison de données qui fonctionne tant qu’il reste au moins une connexion active ;
– un traitement automatisé des changements de situation ;
– un maintien des opérations en cours quand un lien est rompu.

Dit comme ça, ça peut avoir l’air simple, mais techniquement ça ne l’est pas du tout. Dans les réseaux modernes, tout se base sur les adresses IP, et cet identifiant se doit d’être unique sur le réseau. La tolérance de panne, c’est un peu comme lorsque vous partez en vacances et que vous voudriez que votre voisin reçoive votre courrier : ça paraît simple sur le papier, mais allez expliquer ça à la poste… elle voit une adresse sur une enveloppe, hors de question de le mettre dans une autre boîte aux lettres !

Pour que la tolérance de panne fonctionne, votre équipement doit donc avoir deux connexions au réseau, et qu’elles partagent une même adresse IP. Là encore, ça peut paraître évident sur le papier, mais allez attribuer la même adresse IP à votre carte Ethernet, et à votre carte WiFi sous Windows, et vous vous ferez jeter direct. Pour mettre en place un accès double, il faut intervenir au niveau du pilote des cartes réseau, ce qui suppose d’avoir deux modèles identiques, ou du moins provenant du même constructeur. Et ça, c’est plutôt difficile à mettre en place sur un portable…

Mais à présent, si vous êtes un mac-user, faites l’expérience : dans un réseau accessible via Ethernet ou WiFi au choix, affectez votre IP actuelle aux deux interfaces. En fonction de l’ordre défini dans les réglages, c’est la plus prioritaire des deux qui répondra. Maintenant désactivez-là (en débranchant le câble internet ou en coupant l’accès Airport, selon le cas) : miracle, votre liaison est toujours effective. Vous venez de mettre en place un accès réseau à tolérance de panne, et qui plus est en utilisant deux supports complètement différents : un câble ethernet et des ondes WiFi !

Il faudra que je fasse des tests plus poussés, notamment pour m’assurer de la continuité des opérations réseau en cours au moment de couper, mais à première vue c’est une fonctionnalité très intéressante. Et si vous vous demandez à quoi ça peut servir, il suffit d’imaginer. Par exemple, vous êtes en train de faire une grosse copie de fichiers via ethernet, mais vous êtes obligés de déplacer votre ordinateur à un endroit où le câble ne peut pas suivre… Plus généralement, garder la même adresse IP quel que soit le média utilisé est intéressant lorsqu’on utilise un serveur auquel d’autres personnes se connectent. Et puis, on peut très bien aussi vouloir garantir un accès fiable en joignant ainsi l’interface Ethernet native avec un adaptateur Ethernet-USB.

…Et puis bon, ça donne une touche “geek” aux Macs, aussi. Ben oui.

Mission accomplie (burp)

lundi 13 juillet 2009

“Et toi, où tu vas pendant le pont du 14 juillet ?”

À cette question, je réponds que j’ai prévu de ne pas bouger spécialement, juste une ou deux sorties normales prévues, deux séances de sport, une demi-journée de lessive-ménage-aspi-rangement, de la musique, du blogging (comme vous avez pu le voir hier), du jeu vidéo, du bouquinage, et de la tambouille. Même que question tambouille, je m’étais fixé un objectif plutôt ambitieux pour inaugurer une acquisition toute récente.

Comme il n’est pas courant que je sois aussi satisfait du résultat obtenu par un tout premier essai, je ne résiste pas à l’envie de vous le présenter en image :

Miam :d

Les connaisseurs ne manqueront pas de saisir la portée gastronomique de ce succès.

Nota : une fois n’est pas coutume, cette fois-ci le pot de Nut’ n’a été que figurant.

USA Tour 2009 : l’heure du bilan

dimanche 12 juillet 2009

And voilà, le USA Tour 2009 de Celeri s’est terminé il y a de cela deux mois, mais j’achève tout juste la publication de quelques photos accompagnées des notes que j’ai prises au fur et à mesure. Ouf !

Si on devait résumer le voyage qui a inauguré la nouvelle rubrique “Pérégrinations” de ce blog en quelques caractéristiques, on pourrait relever :
– un parcours d’un peu plus de 5300 kilomètres en voiture (4300 de voyage, 1000 de déplacements divers) à travers quatre états (Californie, Arizona, Utah et Nevada) ;
– une visite de trois des plus grandes villes américaines (Los Angeles, Las Vegas et San Francisco)
– 7 parcs naturels parcourus : Joshua Tree, Grand Canyon, Bryce Canyon, Zion, Death Valley, Sequoia et Yosemite ;
– plus de 6000 photos prises et une cinquantaine de vidéos enregistrées, pour environ 20 Go de données brutes à trier, organiser avant publication ;
– une bonne dizaine de fast-food inconnus chez nous expérimentés (mais PAS de McDo… étonnant, non ?) ;
– 27 jours, dont 16 consacrés à la visite d’un site, 6 majoritairement passés en voiture, 3 de “in town”… et 2 jours de loisirs ;
– 5 nuits en camping, 9 en auberge de jeunesse, 12 en motel… et 2 en hôtel de luxe à Las Vegas ;
– zéro temps mort !

J’espère que ces quelques billets un peu différents des autres vous auront plu, ils manifestent d’une bonne partie de ce qu’il me reste de ce voyage vraiment très intéressant. Un grand merci à mes amis-organisateurs sur place et à tous ceux qui ont suivi mon parcours ici-même !

Ce blog va pouvoir reprendre son cours normal à partir de maintenant… À bientôt !


Voir la carte en grand format

Where is was Celeri ?

mercredi 27 mai 2009

[MàJ] Ça y est ! Je suis enfin en mesure de publier mes découvertes et mes impressions du voyage dont vous avez eu un petit teasing ci-dessous, il y a de cela quelques semaines… J’ai prévu de faire cela sous forme d’une note journalière antidatée au jour où l’action s’est située, comme si c’eût été en direct live. Bonne lecture !

    10 avril : L’arrivée à Los Angeles
    11 avril : Universal Studios Hollywood
    12 avril : Downtown L.A. & Hollywood
    13 avril : UCLA & Uptown
    14 avril : Palm Springs & Mount San Jacinto
    15 avril : Joshua Tree National Park
    16 avril : Route 66 & Grand Canyon Caverns
    17 avril : Grand Canyon National Park
    18 avril : Monument Valley & Navajo National Monument
    19 avril : Navajo Reservation & Glen Canyon
    20 avril : Antelope Canyon & Lake Powell
    21 avril : Bryce Canyon National Park
    22 avril : Zion National Park
    23 avril : Hoover Dam & Las Vegas
    24 avril : Las Vegas
    25 avril : Las Vegas & Death Valley
    26 avril : Death Valley
    27 avril : La route du séquoïa
    28 avril : Sequoia National Park
    29 avril : Yosemite National Park
    30 avril : Muir Woods & San Francisco Bay
    1er mai : San Francisco & Alcatraz
    2 mai : Downtown San Francisco
    3 et 4 mai : Pacific Highway & Hearst Castle
    5 et 6 mai : Santa Barbara & Los Angeles

Cette note s’adresse aux éventuels lecteurs qui se demanderaient ce qui  fait que je suis plutôt absent ces dernières semaines. C’est très simple : une fois n’est pas coutume, j’ai été piqué de bougeotte. Et je ne parle pas d’un week-end par-ci ou une semaine de vacances par-là, hein, il s’agit d’une villégiature d’assez longue durée, et ce dans un endroit assez éloigné.

Je tiens encore secrète ma destination à l’heure actuelle, pour des raisons évidentes de sécurité, mais je consens à vous donner un tout petit indice qui ne me mouille pas trop :

La suggestion m’ayant été faite à plusieurs reprises, j’ai décidé d’intégrer à ce blog le petit journal que je tiens de mon séjour loin des fromages qui puent. Mais si je veux que ce soit bien fait, je n’ai pas d’autre choix que d’attendre mon retour, qui ne devrait pas tarder. Non non, pas de date officielle, vu que je me sens actuellement un peu fiévreux, avec des migraines et des courbatures un peu difficiles à expliquer, et qu’il est donc probable que certaines autorités compétentes me retiennent un temps indéfini… ;)